Les engagements écologiques du directeur E.Leclerc ST Pierre les Elbeuf

mai 23, 2019

Le magasin E.Leclerc de Saint Pierre Les Elbeuf est situé Route de Pont de l’Arche dans la zone industrielle des Grands Prés. Le directeur E.Leclerc St Pierre les Elbeuf et toute son équipe vous accueille du lundi au samedi de 9H à 20H et jusqu’à 20H30 le vendredi. Il propose à sa clientèle une station service, un service Drive, un magasin spécialisé dans le jardinage, une parapharmacie, une agence de voyages, une animalerie et un service de bornes électriques. Au niveau des produits d’alimentation, le magasin s’est engagé dans une démarche de développement durable. Alors quels sont les engagements écologiques du magasin ? Comment sont-ils mis en place ? Comment le magasin accompagne t-il sa clientèle dans cette transition ?

Les alliances locales

Le magasin Leclerc St Pierre les Elbeuf a pour objectif de favoriser la collaboration avec les producteurs locaux. Ces différents partenariats permettent de soutenir l’activité des hommes et des femmes qui travaillent la terre avec passion pour nourrir les habitants de la région. Ils permettent également de mettre en valeur la diversité des produits du terroir et leur qualité. Le but de ces alliances est de favoriser les circuits courts allant directement du producteur au magasin.

Chaque partenaire est sélectionné selon plusieurs critères dont le premier et le plus important est la localisation. En effet, le producteur doit se situer dans un rayon de 100km autour du magasin. Les autres critères de sélection sont le type d’entreprise et les méthodes de fabrication.Ces alliances locales permettent au magasin de proposer à sa clientèle des produits de qualité et surtout de saison pour garantir un maximum de goût et de fraîcheur à des prix très accessibles pour tous les budgets.

Au total, c’est près de 11500 alliances locales qui ont été faites avec plus de 6000 producteurs qui se sont alliés à cette aventure écologique. Les producteurs sont particulièrement motivés par cette démarche, ils se sentent suivis et soutenus dans leurs nouveaux projets de développement de leur exploitation.

Une grande campagne vidéo nommée “Des régions à croquer” permet aux clients de découvrir les différentes exploitations des producteurs, la manière dont ils travaillent et le lien qui s’est établi entre eux et les différents magasins Leclerc. C’est un partenariat gagnant-gagnant.

Certains producteurs livrent eux-mêmes leurs produits chaque jour pour satisfaire la demande mais le magasin s’adapte également au rythme du producteur pour préserver la qualité du produit et du bien-être des producteurs. Cette démarche permet d’augmenter significativement leurs marges et d’envisager de nouvelles perspectives dans la vente de leurs produits. Ils véhiculent leur passion à travers les produits qu’ils cultivent ou fabriquent.

À titre d’exemple, le magasin Leclerc de Saint Pierre Lès Elbeuf entretient une collaboration avec Patrick Bisson, maraîcher dont l’exploitation est située seulement à 6 km du magasin. Salades, radis, haricots verts, choux, poireaux, navets, carottes, céleris… de beaux et bons légumes frais de saison qui ravissent les papilles de la clientèle. Les produits du Pavillon situés à Le Mesnil Fuguet produisent et conditionnent des pommes de terre, des oignons, de l’ail et des échalotes à seulement 27 km du magasin. Les clients du magasin sont aussi heureux de pouvoir trouver dans les rayons, les truites normandes de Jean Marc Landriau.

Le magasin propose également des œufs frais qui proviennent du domaine du Vieux Pressoir. Une partie de la production est faite en biologique et contribue ainsi au développement durable. Le site se trouve à 67 km du magasin. Le bon lait de Normandie connu dans la France entière est disponible dans les rayons et provient de la ferme des marais, producteur local situé à 82 km du magasin. Cette exploitation comprend près de 120 vaches qui pâturent dans les prairies et dont l’alimentation est composée de betteraves, de foin, de céréales, de pois et d’avoine. Le producteur transforme les produits sous forme de crème, de faisselle, de fromage blanc et de yaourts. Le magasin n’hésite pas à diversifier son offre et a notamment fait confiance à Antoine Mengeot, producteur d’escargots.

 

La voix des champs

Ce programme permet de réduire l’utilisation de pesticides dans les cultures et d’améliorer les techniques agricoles dans un souci de développement durable. En effet, l’utilisation de produits phytosanitaires dans l’agriculture est de plus en plus décriée et les français sont de plus en plus sensibles et préoccupés par ce sujet. La grande distribution a su s’adapter à ce changement de méthode et de demande : l’action de Leclerc de Saint Pierre lès Elbeuf en est un parfait exemple.

Dans la mouvance du plan Ecophyto élaboré par le gouvernement en 2008, le magasin Leclerc met en place à son échelle les grands changements qui s’imposent. L’enseigne E.Leclerc s’est donné un objectif audacieux : reduire d’ici 2020, l’utilisation de pesticides de 50 % dans la culture de fruits et de légumes. Malgré tous ces changements et ces améliorations pour une transition agro-écologique indispensable, Leclerc tient à ce que l’ensemble de ses produits restent et resteront toujours à prix E. Leclerc.

Parmi les agriculteurs partenaires, nous pouvons citer “Le verger de La Blottière”, producteur de pommes de terre de père en fils. Ce groupement de producteurs utilisent différentes techniques alternatives à l’utilisation de produits phytosanitaires. Le rôle d’E.Leclerc et de donner de la visibilité sur 3 ans à ces producteurs, ce qui leurs permettent de travailler dans des conditions beaucoup plus sereines et d’être rémunéré au juste prix en fonction de la qualité de leur travail. De plus en plus de parcelles ne sont pas traitées au glyphosate et les producteurs privilégient davantage le désherbage mécanique.

Par exemple, les pommes de terre “Terre de France” sont produites sur des terroirs de qualité répartis dans toute la France. Elles sont validées par la certification IFS. Les salades “Crudettes” produites par ce regroupement de producteurs respectent un cahier des charges stricte appelé “Filière Les Crudettes”. Elle est basée sur les règles de l’agriculture raisonnée.

Mais qu’est ce que l’agriculture raisonnée ?

L’agriculture raisonnée est en rupture avec une agriculture intensive néfaste. C’est un dispositif qui vise à certifier les pratiques des agriculteurs autour d’une définition du développement durable, avec des pratiques économiques, sociales et environnementales.

Cette certification est donnée au producteur pour une durée de 5 ans et il doit respecter un référentiel et des exigences de protection des cultures, de traçabilité des produits et de gestion des déchets.

Cette agriculture permet d’utiliser de 20 à 30% de moins d’intrants dans les cultures. L’agriculture raisonnée est une philosophie où chacun fixe ses règles en fonction, par exemple, des situations climatiques qu’il rencontre. Mais chaque producteur doit réfléchir plus en amont pour être cohérent dans son exploitation. Une des techniques les plus utilisées est la rotation de culture. Elle permet de laisser le temps à la terre de se régénérer.

Les producteurs de lait quant à eux utilisent de moins en moins de médicaments pour soigner leurs bêtes afin de préserver la santé des consommateurs. Ils utilisent plutôt la surveillance et la prévention pour éviter les maladies. Cette méthode a prouvé qu’elle était efficace. Elle est de plus en plus utilisée car elle est beaucoup moins contraignante que l’agriculture biologique.

Avec un champ d’action aussi large, il semblerait que les magasins Leclerc soient déterminés à mettre en place de nombreuses initiatives en faveur du respect de l’environnement et de la production d’aliments à échelle locale. Le directeur E.Leclerc St Pierre les Elbeuf et son équipe œuvrent également dans ce sens au vue des différents projets d’ores et déjà mis en place. Ces avancements annoncent une production et une consommation plus propre et responsable dans l’avenir, et cela sera naturellement bénéfique pour les clients de l’enseigne !

L’écologie, c’est aussi lutter contre le gaspillage alimentaire

Le directeur du Leclerc St Pierre Les Elbeuf nous a renseigné les pratiques qu’il a mis en œuvre dans son magasin pour prévenir le gaspillage alimentaire.

Le réchauffement climatique

Afin de produire les aliments que nous consommons au quotidien, il faut savoir qu’il est nécessaire d’utiliser, à la fois de l’énergie mais aussi de l’eau. Le gaspillage alimentaire est donc extrêmement pollueur. Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture le gaspillage alimentaire reviendrait donc à 3,3 milliards de tonnes de CO2 émis dans l’atmosphère annuellement, soit l’équivalent d’un pays presque aussi pollueur que la Chine ou les Etats-Unis.

Pourtant, le gaspillage alimentaire présente aussi un impact financier. En effet, le gaspillage est phénomène très onéreux. En France, on estime que le gaspillage alimentaire représente environ 15 milliards d’euros chaque année.

Par ailleurs, le gaspillage alimentaire présente aussi un enjeu au niveau social. Lorsque l’on est conscient du problème de malnutrition et de sous-nutrition d’une vaste partie de la population mondiale, le gaspillage est d’autant plus aberrant. La lutte contre le gaspillage alimentaire c’est donc à la fois un enjeu de justice sociale, et un enjeu environnemental.

Quelles sont les conséquences du gaspillage alimentaire sur l’écologie ?

Selon une étude, le gaspillage alimentaire pèse énormément sur l’énergie… C’est plutôt logique quand l’on sait que pour produire, il faut de l’énergie. Qui plus est, il faut encore de l’énergie pour transporter les produits et les conserver. Au bout de la chaîne, si le produit n’est pas consommé, tous ces efforts n’auront servi à rien. Ainsi si on gaspille la nourriture à une hauteur de 50%, cela revient à perdre 5% de l’énergie nationale totale soit la quantité nécessaire pour l’éclairage de la moitié du territoire.On estime qu’à l’échelle mondiale, près d’un tiers des aliments destinés à la consommation est entièrement gaspillé. Parmi le classement des plus gros gaspilleurs, les pays européens arrivent en tête, la France détient le 16ème rang mondial avec un gaspillage estimé à environ 10 millions de tonnes de denrées alimentaires chaque année.

Malheureusement, il faut savoir que le gaspillage alimentaire présente un impact direct sur le réchauffement climatique. D’après de nombreuses études, on estime qu’un kilo de nourriture produit est équivalent à 4 kg de dioxyde de carbone qui sont directement rejetés dans l’atmosphère. Ainsi, l’impact écologique du gaspillage est désastreux à la fois en termes de consommation d’énergie et en termes de respect de l’environnement.

Quels sont les produits les plus touchés par le gaspillage alimentaire ?

Les produits les plus susceptibles d’être gaspillés sont les aliments rapidement périssables tels que les légumes et les fruits. Ils représentent près de 40 % du gaspillage alimentaires. Cependant, les liquides sont aussi fréquemment jetés. Parmi ces derniers, les produits les plus gaspillés seraient les laitages. Or, ils requièrent énormément d’énergie pour assurer leur production, leur distribution et leur consommation. Enfin, il faut savoir que dans le gaspillage, on retrouve aussi beaucoup de produits entamés ou de restes de repas qui finissent, malheureusement, à la poubelle. Tous ces produits, fréquemment touchés par le gaspillage alimentaire, représentent une préoccupation essentielle pour le dirigeant du Leclerc St Pierre Lès Elbeuf. C’est pourquoi, l’hypermarché s’inscrit désormais dans une démarche de limitation du gaspillage.

Comment moins gaspiller ?

D’abord il faut commencer par instaurer les bons comportements dans nos foyers. A titre d’exemple, faites une liste de vos courses pour vous éviter d’acheter trop (et mal !). De plus, il est conseillé de faire vos courses de manière régulière et en quantité raisonnable afin d’éviter tout risque de gaspillage, de plus cela fera du bien à votre portefeuille ! Lors de vos courses, privilégiez l’achat de produits en vrac afin de limiter au maximum l’achat de produits aux emballages multiples.Une fois chez vous, si vous observez une quantité trop importante d’éléments périssables rapidement, il est possible de congelez le surplus (en respectant tout de même les règles d’hygiènes élémentaires). Par ailleurs, il est essentiel de bien conserver les aliments, en les plaçant soit au réfrigérateur, au congélateur ou dans un endroit obscur et sec. Si malgré tout, vous avez encore de la nourriture sur les bras, vous pouvez très bien composter et recycler ces aliments ou encore faire un don de vos plats pour les personnes plus démunies.

Enfin, lorsque vous êtes à l’extérieur, pensez à utiliser les applis anti-gaspillage comme « Too Good to Go » ou rendez-vous dans les banques alimentaires si vos revenus sont très modestes. En revanche, si vous vous rendez dans un restaurant, pensez également à emporter les restes si votre assiette n’est pas vide. Le phénomène du « doggy bag » de plus en plus répandus dans de nombreux pays.

Finalement, les gestes simples sont parfois les bénéfiques pour votre portefeuille et pour la planète !

Objectif zéro déchet, qu’est-ce que c’est ?

En poussant l’initiative un peu plus loin, il est possible de s’intéresser à l’objectif « zéro déchet », c’est notamment le cas du directeur leclerc saint pierre les elbeuf. Pour lui, cela consiste à réduire de manière importante sa consommation de déchets en multipliant les gestes « eco-friendly » et les alternatives aux produits vendus en magasins. Et cet objectif est d’autant plus justifié lorsque l’on sait qu’un français représente entre 390 kg et 430 kg de déchets chaque année. Mais alors par quoi commencer ?Tout d’abord, il faut être en mesure de désencombrer notre logement. Il faut savoir se débarrasser des éléments de notre quotidien qui ne sont pas utiles. Mais cela va plus loin, car pour s’en débarrasser en mode zéro déchet, il est essentiel de revendre, de faire réparer ou de donner ce dont vous n’avez plus besoin. Cette action permettra d’y voir plus clair dans ce qui vous est réellement nécessaire ou non.

Ensuite, l’autre concept à appliquer dans l’optique d’un logement « zéro déchet » concerne « la règle des 4 R ». Cette règle se définit par les actions suivantes : refuser, réduire, réutiliser et recycler. Le premier principe est donc de refuser tout ce qui nous est inutile, comme les publicités, les prospectus, et parfois même les tickets de caisse. Il faut savoir dire non. Deuxièmement, on retrouve la réduction de notre consommation, qu’il s’agisse des produits alimentaires, des produits d’hygiène, des vêtements, du cosmétique, etc. Il faut parvenir à limiter au maximum le gaspillage et à consommer seulement ce dont on a réellement besoin. Troisièmement, on parle de la réutilisation. Cela consiste à éviter le suremballage et à favoriser les sacs en tissus et autres contenants réutilisables. Il est également intéressant d’acheter les produits en vrac. Enfin, dernier principe à appliquer, celui du recyclage des déchets au maximum, avec l’utilisation du compost et des poubelles de tri.

 

 

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